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"C'est bien l'"Autant en emporte le vent" de la guerre d'algérie." (Bernard George) "Voilà donc un livre beau, généreux, juste, noble, mesuré, profond - parfait. Mais hélas! sont-ce bien là des qualités pour plaire aujourd'hui?" (André Figueras) "L'honnêté de ce livre est admirable." (Pol Vandromme)
"Le mauvais coup que l’on prépare, disait Samar, c’est notre assassinat. On veut nous livrer. Et maintenant tout se noue dans l’un de ces silences qui, dit-on, précèdent les grandes fureurs. L’ennemi peut se taire. II est partout autour de cette ville où nous voici enfermés avec l’armée. Il sait qu’ici se jouera le sort."
Une belle lettre pleine de tendresse et de compassion, mais aussi de révolte, que Jean Brune adresse à ses compatriotes Pieds-Noirs pour les appeler à ne jamais oublier mais aussi à se reconstruire une vie nouvelle. L'auteur, au-delà de son attachement à son pays de soleil au sud de la Méditérranée, montre un véritable amour de la France.
Pour ceux qui ont aimé l'Algérie Française et apprécié à sa juste valeur le grand roman de cette Algérie fraternelle, "Cette haine qui ressemble à l'amour", ce journal leur fera découvrir un Jean Brune "enrichi" par l'épreuve dans une quête de trois ans, de son expulsion de l'Algérie en 1960 à 1963, d'un lieu de soleil pour le repos du corps et de l'esprit.
Pour ceux qui ont aimé l'Algérie Française et apprécié à sa juste valeur le grand roman de cette Algérie fraternelle, "Cette haine qui ressemble à l'amour", ce journal leur fera découvrir un Jean Brune "enrichi" par l'épreuve dans une quête de trois ans, de son expulsion de l'Algérie en 1960 à 1963, d'un lieu de soleil pour le repos du corps et de l'esprit.