Mes derniers cahiers. Complet des six séries.

"J'aurais voulu partir comme un danseur de pardon breton... Je m'en vais comme un laboureur harassé, qui entend l'Angélus du soir, pense à la maisonnée, au Bon Dieu, se retourne et se demande si le grain lèvera jamais dans son sillon."

Dans ces 23 cahiers (dont un double sur la justice), tiré entre 3000 et 6000 exemplaires suivant les sujets,François Brigneau aborde tous les sujets qui lui sont chers avec la rigueur du journaliste (doublé parfois de celle de l'historien) et de la verve du polémiste qui lui sont reconnues tant par ses admirateurs que par ses contempteurs. On peut ne pas être d'accord sur tout mais on est contraint, à la lecture de ces cahiers, de lui reconnaître un certain courage et d'indéniables talents de conteur.

Les sujets les plus variés sont ainsi traités: Mgr Lefèbvre; le Maréchal Pétain; Philippe Henriot; Le Pen et beaucoup d'autres sujets "politiquement incorrects" et, bien sûr, dans trois merveilleux cahiers de piété fraternelle, le poète fusillé, Robert Brasillach.