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La défaite cuisante de juin 1940 vue par un des nombreux officiers de réserve...
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La défaite cuisante de juin 1940 vue par un des nombreux officiers de réserve lancés dans cette guerre sans préparation avec leur seul courage et leur bonne volonté. "Il est parti, comme tant d'autres, à la tête d'une compagnie d'infanterie parce qu'on l'a mis là. Il a terminé la guerre le 25 juin parce qu'il en a reçu l'ordre. Il est loin d'être un héros: c'est plutôt un être de chair."
Année de la première édition (27e mille) avant sa reprise par Fayard.
Un très beau et noble roman qui n'a que seule prétention de montrer "qu'un homme n'est rien sans son courage" (Jean Mabire). Il ne juge pas, ni ne condamne; il ne pleure pas sur la défaite, ni ne cherche les coupables; il constate et cherche à comprendre tout simplement.
"Beaucoup de ces pages sont pleines d'une émotion retenue. Elles jettent un jour précieux - et réconfortant - sur la psychologie du jeune officier de troupe." (Gringoire, 1941)
Catégorie | De l'Avant-guerre à l'Après-guerre |
Thème | Nationalisme |
Genre | Romans |
Auteur | Guy des Cars |
État | Bon état |
Année | 1941 |
Format | in 8° |
Pages | 169pp |
Editeur | L'imprimerie Robaudy |
Lieu d'édition | Cannes |
Type | Broché |
Divers | Mors entête légèrement fendu (1cm), un scotch en queue du dos. Un nom manuscrit sur la page de faux titre. |